Dessin pour valet sans teint.
Houspille bien l’auréole,
Reverdis-moi subrepticement,
Et tu miras mon château de colle,
Mon chapeau est ravissant.
Elève studieuse pour biaiser mes vœux,
Ta sueur emperlée, vide, sans impuissance,
Recherche une folle pour les vieux,
Reproche savamment pour cette renaissance.
Ce 14 fait levier à mon cours particulier,
Apprends-moi l’offre d’un présent,
Où je me vexe de la prose du pote envié,
Ainsi je vois et crépite langoureusement.
Mon chapeau, j’envoie, déchaussé, pour toi,
Tes robes, mon émoi, je m'écrie, vêtir qui s’en suit,
Une cour insondable, sans atteinte pour moi,
Tu seras celle à l’arôme d’une réjouissance qui s’enfuit.
Un jour de décembre tu entreras dans ma cuisson,
Démis du maître d’œuvre sans t’enivrer,
Empêtré dans un décor sans fond,
Apporte pour sa belle un bougeoir sans préjugé.
Un poids, vitrine tendancieuse,
M’offrant pour mes loisirs, les nus, ici, pour rire,
Pour mes vestiges actuels, ou tu es gracieuse,
Réjouissant tes honneurs, où je t’entends glapir.
Houspille bien l’auréole,
Reverdis-moi subrepticement,
Et tu miras mon château de colle,
Mon chapeau est ravissant.
Elève studieuse pour biaiser mes vœux,
Ta sueur emperlée, vide, sans impuissance,
Recherche une folle pour les vieux,
Reproche savamment pour cette renaissance.
Ce 14 fait levier à mon cours particulier,
Apprends-moi l’offre d’un présent,
Où je me vexe de la prose du pote envié,
Ainsi je vois et crépite langoureusement.
Mon chapeau, j’envoie, déchaussé, pour toi,
Tes robes, mon émoi, je m'écrie, vêtir qui s’en suit,
Une cour insondable, sans atteinte pour moi,
Tu seras celle à l’arôme d’une réjouissance qui s’enfuit.
Un jour de décembre tu entreras dans ma cuisson,
Démis du maître d’œuvre sans t’enivrer,
Empêtré dans un décor sans fond,
Apporte pour sa belle un bougeoir sans préjugé.
Un poids, vitrine tendancieuse,
M’offrant pour mes loisirs, les nus, ici, pour rire,
Pour mes vestiges actuels, ou tu es gracieuse,
Réjouissant tes honneurs, où je t’entends glapir.