Dans cette confrérie la flore avait ses marques
Mais se voit supplanter par un odieux cercueil
Un oracle incertain injuriant les aïeuls
Qui avaient soutenu qu’un insidieux monarque
Prônerait l’allégeance à ces senteurs verts prés.
Par sa lucidité le chêne centenaire
A bien vite saisi que déclinaient ses pairs
Alors il les a pris sous son aile d’acier
Pour malgré sa tumeur osé faire son dû
En protégeant les siens commençant à déchoir
Afin que notre sol ne s’estompe en déboires.
Mais ce fléau sinistre est pesant d’attributs
En réduisant la sphère en amas de poussière
Pour voir s’accumuler un océan de cendres
Que le poumon terrien a du mal à comprendre
En se voyant abattre en un monceau de stères.
Ces arbres finiront leur alarmant destin
Incendié par la foudre édictant l’insouciance
Des hommes qui s’allient malgré les conséquences
A rebâtir la pierre embrasée du divin.
Peut-être superflu mais moi j’y vois un signe
Notre-Dame a brûlé sous l’égide de Dieu
Pour que de ce miroir il sente nos aveux
Notre priorité revient à cet insigne.
Par cette observation Gaïa notre origine
Implore notre espèce en des copeaux de verres
Au reflet cristallin par cet air meurtrière
Qui s’abat sur son être enflammant ses racines.
Ce couple de verdure abandonne l’espoir
De retrouver un jour leur éclat d’autrefois
Mais ces deux amoureux sur leur sort s’apitoient
Voyant que leurs enfants ce chandelier notoire
Qui les perdureraient se mute en candélabre.
Leur écorce s’effrite en la force assénée
Contre leur cœur meurtri qui ne peut plus songer
A prémunir autrui de ce futur macabre
Ayant tourné le dos à ce délabrement.
L’oxygène s’éteint l’atmosphère transpire
Par cette pollution qui exhume mon ire
Ne rendant plus fécond ce domaine d’antan
Qui scelle le futur à toutes créatures.
Pourtant les végétaux émanent en secret
De leur sève imbibée au filament discret
Un mystère entourant ces savantes statures.
Ces juges ancestraux pullulent d’émotions
Imprégnant le festin qui coule dans leur veine
Pour tenter d’humecter en senteurs diluviennes
Cette moiteur torride en une hydratation
Afin de rafraîchir en embaumant nos corps
D’un soupçon d’intuition pour pacifier nos vies.
Alors n’ayons pas peur d’écouter ces instruits
Afin de nous nourrir du plus saint des apports
Pour extraire en chacun sa noblesse psychique
Etoffant nos esprits en purifiant nos êtres
Pour penser prestement à les faire renaitre
Ces flambeaux immortels au fumet rhétorique.
Oiseau Lyre.
Mais se voit supplanter par un odieux cercueil
Un oracle incertain injuriant les aïeuls
Qui avaient soutenu qu’un insidieux monarque
Prônerait l’allégeance à ces senteurs verts prés.
Par sa lucidité le chêne centenaire
A bien vite saisi que déclinaient ses pairs
Alors il les a pris sous son aile d’acier
Pour malgré sa tumeur osé faire son dû
En protégeant les siens commençant à déchoir
Afin que notre sol ne s’estompe en déboires.
Mais ce fléau sinistre est pesant d’attributs
En réduisant la sphère en amas de poussière
Pour voir s’accumuler un océan de cendres
Que le poumon terrien a du mal à comprendre
En se voyant abattre en un monceau de stères.
Ces arbres finiront leur alarmant destin
Incendié par la foudre édictant l’insouciance
Des hommes qui s’allient malgré les conséquences
A rebâtir la pierre embrasée du divin.
Peut-être superflu mais moi j’y vois un signe
Notre-Dame a brûlé sous l’égide de Dieu
Pour que de ce miroir il sente nos aveux
Notre priorité revient à cet insigne.
Par cette observation Gaïa notre origine
Implore notre espèce en des copeaux de verres
Au reflet cristallin par cet air meurtrière
Qui s’abat sur son être enflammant ses racines.
Ce couple de verdure abandonne l’espoir
De retrouver un jour leur éclat d’autrefois
Mais ces deux amoureux sur leur sort s’apitoient
Voyant que leurs enfants ce chandelier notoire
Qui les perdureraient se mute en candélabre.
Leur écorce s’effrite en la force assénée
Contre leur cœur meurtri qui ne peut plus songer
A prémunir autrui de ce futur macabre
Ayant tourné le dos à ce délabrement.
L’oxygène s’éteint l’atmosphère transpire
Par cette pollution qui exhume mon ire
Ne rendant plus fécond ce domaine d’antan
Qui scelle le futur à toutes créatures.
Pourtant les végétaux émanent en secret
De leur sève imbibée au filament discret
Un mystère entourant ces savantes statures.
Ces juges ancestraux pullulent d’émotions
Imprégnant le festin qui coule dans leur veine
Pour tenter d’humecter en senteurs diluviennes
Cette moiteur torride en une hydratation
Afin de rafraîchir en embaumant nos corps
D’un soupçon d’intuition pour pacifier nos vies.
Alors n’ayons pas peur d’écouter ces instruits
Afin de nous nourrir du plus saint des apports
Pour extraire en chacun sa noblesse psychique
Etoffant nos esprits en purifiant nos êtres
Pour penser prestement à les faire renaitre
Ces flambeaux immortels au fumet rhétorique.
Oiseau Lyre.
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